Avion...et les " France " de duathlon

Le blason :

Les armes de la ville sont dues à une création des artistes peintres, les frères Stéphan et Marcel TACIAK. Elles figurent l'étymologie du nom de notre ville : AVIS, AD VIAM, AQUA (Oiseau, Voie, Eau) représentée dans les deux figures du bas. Elles reproduisent les industries qui ont dominé pendant près d'un siècle l'économie locale : le chemin de fer et la mine. Une figure représente l'avenir avec une perspective du nouveau quartier. La lyre et les Gerbes de blé rappellent l'art musical et l'agriculture très florissante avant la guerre.

La dernière décennie du XXe siècle aura été marquée par l'accélération du processus de transformation et de modernisation de la ville afin de surmonter les difficultés nées de la disparition de l'industrie charbonnière et construire l'avenir d'Avion. Au coeur de la ville, 227 ha d'espaces aménagés et entretenus, du vert gazon au fleurissement,

Avion mérite bien ce nom de "cité dans un jardin". La participation citoyenne à cet embellissement permanent de la ville trouve sa traduction dans le concours des jardins et maisons fleuris qui viennent encore ajouter la touche de couleur qui fait dire qu'Avion est une ville agréable, où il fait bon vivre.

Le parc de la glissoire, en lieu et place de l'ancienne fosse 5, c'est 60 hectares de lacs, chemins et plantations d'arbres et arbustes offrant un panel de 800 espèces. Le terril et l’ancienne décharge ont été regazonnés. Guidée par l’homme, la nature y a repris tous ses droits. Plus qu’un écrin de verdure, c’est presque un petit eden qu’elle offre aujourd’hui à un vaste public qui se déplace jusque depuis Paris. Bucolique, le parc de la Glissoire est aussi riche de plusieurs niches écologiques. Plus de huit cents espèces d’arbres et arbustes diffusent leurs essences et abritent sous leur frondaison de nombreuses espèces d’oiseaux qui avaient déserté la région. Situé sous une ligne migratoire, 72 espèces d’oiseaux y ont été recensées dont 31 aquatiques. L’écrin des Glissoires offrent ainsi un espace documentaire grandeur nature aux ornithologues amateurs ou chevronnés, classes vertes et grand public.

Quant au terril de Pinchonvalles devenu aujourd'hui une zone protégée, ses 72 hectares offrent une faune et une flore qui font l'objet d'un arrêté de biotope. De pays noir en pays vert

Le mineur de quatre mètres de haut

a été réalisé par les habitants du quartier de la gare. C’est un enfant qui tira son nom au sort. Sitôt les bénévoles de la rue de Marseille se mirent au travail pour filer les 12 mètres de tissus, achever la barrette le pic et la lampe. Le samedi 18 août 1951 vit sa première sortie précédée d’un mariach’à chabots. Depuis, le géant mineur est de toutes les festivités de la ville, notamment cyclistes. Une ville laïque : Ch'tiot Batiche .

quelques photos de la ville....

Rendez-vous le premier week-end de Septembre...